Histoire
Le gang bang (dérivé de l'anglais gangbang) est une forme de pornographie. Définie comme une pratique orgiaque avec changement de partenaire, elle est considérée par le journaliste, essayiste et romancier français Frédéric Joignot comme violente et visant à l'humiliation ou à la « démolition » d'une femme ou d'un homme par plusieurs partenaires. Le terme est utilisé dans les médias au sens de forme de sexualité de groupe librement consentie entre une femme et plusieurs hommes. La pratique, où un pénétrant assouvit plusieurs pénétrés lors d’un même acte, se nomme « gang bang inversé » ou « jeu de la licorne ». [3].
Histoire
Les premières vidéos de gang bang apparaissent aux États-Unis vers la fin des années 1990, quelques années après l'apparition du bukkake, autre forme de pornographie importée du Japon mettant en scènes des actrices (ou des acteurs pour les films homosexuels) sur lesquels des hommes éjaculent en groupe.
Le terme gang bang est inspiré par cette pratique du sexe collectif pratiqué initialement par des gangs. "Gang" équivalent de "Bande criminel" et "Bang" pour "Coup"(coup de feu/explosion).
Vocabulaire du cinéma pornographique
Gang Bang Reverse, c'est un homme avec plusieurs femmes en même temps.
Gang Bang Insémination, ce sont plusieurs hommes qui éjaculent les uns après les autres dans le vagin de la même femme.
Gang Bang Gay, c'est un homme avec plusieurs hommes en même temps, ou bien une femme avec plusieurs femmes en même temps.
Aspect légal
La pratique du gang bang avec un partenaire non consentant constitue un viol en réunion ou viol collectif.
Pratique
De nos jours, des « soirées gang bang » sont proposées dans des clubs échangistes ou libertins. Cependant, les plus grands gang bangs hétérosexuels de nos jours sont réalisés par des actrices de films pornographiques, où la pratique vise le record de partenaires.
Le 16 octobre 2004, l'actrice américaine Lisa Sparxxx a atteint un record de 919 partenaires lors du salon « EROTICON » à Varsovie en Pologne. Un jury composé d'hommes et de femmes se relayait durant la journée afin de comptabiliser les partenaires, chaque rapport sexuel était validé s'il excédait trente secondes